Les pas emportés par le vent noyé de sable
M’efface comme si indépendamment du temps
Le créateur a fait régner le désert
Le créant instable pour le rendre durable.
Ainsi l’équivalence des sommes et des valeurs
S’impose comme la base de toute alchimie
Et pour avoir, rien n’est ardu si vous avez compris
Que le bonheur a un prix comme le malheur
le corps humain est une matière ?
Il est de fer de cuivre et de plomb !
Et pour transmuter en plus noble ; une divine manière
Qui crée du noir Athanor, un fond en or blanc
Et faire de soi le beau voyage
Cherchant cette pierre dont les mémoires
L’ont tellement décris loin de notre porté
Alors qu’elle se cachait au fond de nous même
La trouver est la quête de tous
Ceux insatisfaits de la chaire qui les couvre
Voir si peut-on transformer l’ombre en acier
Voir si peut-on transformer le vil en noble
J’ai connu ce cœur, cette pierre philosophale
Sachant comment la distinguer de l’erroné
La côtoyant, je l’ai aimé, un fort piédestal
Elle était mon cercle, là où j'étais transmuté
(Saladin)
M’efface comme si indépendamment du temps
Le créateur a fait régner le désert
Le créant instable pour le rendre durable.
Ainsi l’équivalence des sommes et des valeurs
S’impose comme la base de toute alchimie
Et pour avoir, rien n’est ardu si vous avez compris
Que le bonheur a un prix comme le malheur
le corps humain est une matière ?
Il est de fer de cuivre et de plomb !
Et pour transmuter en plus noble ; une divine manière
Qui crée du noir Athanor, un fond en or blanc
Et faire de soi le beau voyage
Cherchant cette pierre dont les mémoires
L’ont tellement décris loin de notre porté
Alors qu’elle se cachait au fond de nous même
La trouver est la quête de tous
Ceux insatisfaits de la chaire qui les couvre
Voir si peut-on transformer l’ombre en acier
Voir si peut-on transformer le vil en noble
J’ai connu ce cœur, cette pierre philosophale
Sachant comment la distinguer de l’erroné
La côtoyant, je l’ai aimé, un fort piédestal
Elle était mon cercle, là où j'étais transmuté
(Saladin)